Première « pre-review » de la traduction américaine de Le dernier amour de George Sand par Allison Charette. Une critique « étoilée » pour The last love of George Sand (so romantic, isn’t ?).
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« This allusive, impressionistic, quintessentially French tour of the kitchen garden takes us from aphrodisiac artichokes to Zola’s gritty stalls, with a literary and gustatory detour. Lazy summers in grandmother’s garden, the frenzy for fresh winter peas that gripped the court at Versailles in 1660, the global travels of the chilly pepper, the contested history of Cinderella’s pumpkin – it’s all here, and it’s all fun. »
Jane S.Smith, author of The Garden of Invention : Luther Burbank ans the Business of Breeding Plants
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Décembre 1849. George Sand est en France une célébrité au faîte de sa gloire. Pour Noël, son fils Maurice invite à Nohant un jeune homme de ses amis, un graveur inconnu : Alexandre Manceau. George Sand a quarante-cinq ans, Alexandre trente-deux. Ils ne se quitteront plus.
« La feuille de route ? Montrer, comme sait le faire une biographe, comment on devient ce que l’on est – quand on est un petit pois, un haricot, un topinambour…Autrement dit : montrer que le légume dispose d’une aura symbolique plus large que sa pure et simple valeur calorique ou marchande. Raconter cette aventure, c’est entrer dans l’histoire universelle en empruntant la porte du potager… » Michel Onfray
Translated by Alice Kaplan
« Using previously unknown documents, Evelyne Bloch-Dano has made a first-rate contribution to our understanding of Marcel Proust’s mother, her Jewish ancestors, and her family’s social environmentHighly recommanded. » Jean-Yves Tadié.
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Quel lien un biographe entretient-il avec son sujet ? S’emparant de l’histoire de Rosemarie Albach, alias Romy Schneider, Evelyne Bloch-Dano y découvre en miroir l’histoire de sa propre famille : » la biographe » passe de l’une à l’autre, tressant et éclairant ces vies à priori si différentes, l’une exemplaire parce que célèbre, l’autre anonyme et pour cela universelle.
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Beaucoup des lecteurs d’Emile Zola lui manifestent un attachement sentimental tout en s’étonnant de ne rien savoir de lui. C’est qu’il s’est bien peu livré : pas de journal intime, pas de mémoires, une correspondance professionnelle, même quand elle est amicale.
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