Après les USA, la Grande Bretagne, le Brésil, la Turquie, la Roumanie, l’Allemagne, voici la traduction italienne de La fabuleuse histoire des légumes parSara Principe, chez ADD editore (qui a déjà publié Jardins de papier – Giardini di carta).
Mon premier livre traduit en taïwanais…Il n’est pas de plus grand plaisir pour un auteur que d’imaginer ces nouveaux lecteurs dans une langue étrangère et si lointaine. A venir : la traduction en chinois par un éditeur de Pékin.
Les traductions ont quelque chose de miraculeux : voir son livre dans une autre langue, parfois écrit avec d’autres caractères, se dire qu’il sera lu à l’autre bout de la planète ou simplement dans un autre pays, c’est prendre conscience du chemin parcouru.
Il y a quelques mois encore, votre texte n’existait que dans la solitude – et maintenant, grâce à toute la chaîne du livre – éditeur, traducteur, imprimeur, libraire – le voici à New York, Rome ou Pékin.
« Promenez-vous dans ce livre comme dans un parc, en toute liberté. Empruntez tel chemin, évitez tel autre, arrêtez-vous, revenez sur vos pas, respirez le parfum d’une métaphore ou vagabondez au détour d’une phrase dans vos propres souvenirs. Et surtout, à votre tour cultivez votre jardin, en pleine terre, en pots, en rêve ou en mots… »
Jardins de papier a reçu le prix Versailles : Lire au jardin. Le jury est présidé par Alain Baraton.
Un récit autobiographique où se conjuguent la mémoire qu’on perd, celle d’Edith la mère, et la mémoire qu’on sauve, celle d’Evelyne, la fille. Un quartier aux lisières de Paris, la porte de Champerrret, un appartement, une famille, des sentiments forts et doux…
Continuer la lecture de Porte de Champerret (poche)→
Un récit autobiographique où se conjuguent la mémoire qu’on perd, celle d’Edith la mère, et la mémoire qu’on sauve, celle d’Evelyne, la fille. Un quartier aux lisières de Paris, la porte de Champerret, un appartement, une famille, des sentiments forts et doux…